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17 juillet 2010 6 17 /07 /juillet /2010 14:14

Charlie :

"Hallucinant ! Humble hère haletant, je hoche de la hure , sous le happening hilarant de ton historiette homérique.

Hâbleuse habile, tu m'héliportes avec tes hyperboles hardies."

 

LN :

Sous l'hélianthe hellénique, Hélène sans hésitation, heureuse, hasarda auprès de son homme-orchestre un hébergement dans son havre. Habillée d'un hâle, elle se hissa dans son hamac, happa une halva. Dans ce huis clos, elle habilita son hidalgo humaniste à hachurer l'horizon de leur halo harmonieux. En humble harpiste héroïque, elle harangua Homère. Son homme, avec son havane, l'honora d'une hégémonie hédoniste et la hissa jusqu'à son hémisphère, dans une hilarité hollywoodienne. Hors d'eux- mêmes ils étaient sous la houle d'une humeur d'humour. Heureux!!!

 

 

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16 juillet 2010 5 16 /07 /juillet /2010 11:19

 

Héroïne, HSBC l’avait harponnée. Haut-lieu des hommes d'affaires. Huit ans déjà. Huit hélices honorifiques sur son habit. Hardonia avait hiberné à Hanoi, dans les hutong, hordes de haillons harassés...

 

  Ses hanches houaient sous sa houppelande. Hardie avec sa houppette,  elle héla l’horloger de Hui-situ. Hirsute, hargneux, il semblait d'une humeur has-been. Elle huma un hareng à l’huile. L'heure la houspillait de se hâter.

 

Dans ce huit cent quarante-sept, par le hublot, ses horizons la hantaient. Hédoniste, elle avait hésité entre l’Histoire, celle des Huns, des Hong et HEC. Huitième dans l'habilitation HEC de Hanoï. Heidegger, Hayden  et même Houellebecq, elle happait les histoires, les hymnes. Hautbois, harpe, harmonisaient sa haie d'honneur. 


Hong-Kong! Par hasard cet homme haut en couleur, hongrois, hululant en hébreu, l'avait habillée d'une humeur  humoriste. Ses hormones la harcelaient. Huppé, homme de lettres,  elle avait pris de la hauteur. Hallucinée par cet honnête homme, il lui hennit les harmonies de son haras, les hippodromes de sa Hongrie. Hong-Kong serait leur habitacle. Hiérarchiser ces hobbies hebdomadaires. Sous la houlette helléniste de cet homme, elle hoqueta quelques hiéroglyphes sur son Hewlett-Packard.

 

Devant une  huée de hooligans, elle était aux honneurs des hérauts d'HEC. En habits, ils lui firent une haie d'honneur. Hystérie. Hébétée, elle  hulula comme les hiboux à Honolulu. En hippie hallucinée, humant du  haschich, une harmonie hostile de hard-rock l'horrifia.

Avec son humeur hormonale, elle héla son homme et comme huit hirondelles ils s'hélicoptèrent. Sous un hêtre ils firent halte,  près de la hutte d'un hérisson. Dans l'herbe haute, leur horizontalité les mettait hors de vue des humains. Heureux, ils se hélèrent sous la haie des hortensias, en attendant  d'habiter l'hôtel haut de gamme, L'Helléniste.

 

hong-20kong-20map2.jpg

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15 juillet 2010 4 15 /07 /juillet /2010 11:03

 

 

 

 

Gwendal et Gwendoline gisaient, glaives dégainés. Leurs globules gluants gigotaient sur leurs gorges gémissantes. Guerre de gangs. Ils guerroyaient depuis Genouville, la guérilla  les avait gagnés. GAWIN était maintenant galvaudé au gré des gazettes des gendarmeries. GLUTEN, leurs germains aiguisaient leurs gâchettes dans la grange de Genouvillle.

 

les GAWIN groupe de gitans.  Leurs gueules grimaçantes, Gwendal et Gwendoline gambergeaient .Leur gîte, une guitoune sur la grève. Leurs Guimbardes grinçaient,  leurs guenilles gisantes, gluantes. GUY le guetteur fit le gué. Il girouetta au gré des glapissements de son gardien. Il était aux aguets. Gommer les Gluten de la guarrigue. Et gagner la garancière pour, avec sa Gamilène, sa girl, gambader, guillerets sous les genêts.

 

Guérir Gwendal et Gwendoline. Il leur fit des garrots,  les glissa dans sa guimbarde. Il prit la gouvernance: Gluten gendarmerie, la guerre des gangs était finie. Les gisants gémissaient. Guy le guetteur géra au mieux cette galère.

 

Gagner le gué et  avec Gamilène.Giguer au son des gazouillis des guimbardes, et goûter goulument ses lèvres groseilles...

 


Pas facile la lettre G....

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13 juillet 2010 2 13 /07 /juillet /2010 17:05

Dans le silence de cette nature buccolique je n'ai pas retrouvé ma muse....La vacuité de mon esprit fait place à l'éveil de mes sens. Je me ressource aux effluves des roses, je m'harmonise aux chants volatiles, je m'ensommeille aux cotonnades des cieux , je m'arabesque à la brise nocturne, je m'escapade à mon amour lointain, je m'entortille dans mes images et en soulevant la toile de mes jours passés je dessine Deux mains, main dans la main ...Le soir tombe...Rentrons dans nos rêves d'amants.

 à G ...

 

 

 

 

 


Petite visite au chateau de Beaumesnil, le parc. Arrivées trop tard pour la visite des appartements, retardées par le détour imprévisible des soldes. Un havre de paix dans ce décor où nous étions seules.

J'ai de belles prises de vue mais bien sur j'ai oublié le câble pour télécharger  mes photos. Et je pense à Lynotte....

 

A bientôt...Pas facile de vous écrire de Normandie où le web se mérite:))

 

 

 

Chateau_de_Beaumesnil.jpg

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11 juillet 2010 7 11 /07 /juillet /2010 12:10
Dernier script de Jacques TATI, que le réalisateur des "Triplettes de Belleville" a réalisé en dessin animé. Poésie, simplicité, une histoire romantique et un univers un peu désuet. Loin des codes actuels du cinéma on retrouve une atmosphère paisible. Reposant...

 

 

 

Et après undébut de week end sportif et romantique me voilà en NORMANDIE, retour à la nature...

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8 juillet 2010 4 08 /07 /juillet /2010 12:25

 

 

Poursuivons nos recherches......

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8 juillet 2010 4 08 /07 /juillet /2010 11:21
Fulgurance d'une  unicité retrouvée ....

"Après, le compromis.
Les corps remettent leurs frontières.
 
Ces jambes , par exemple, les miennes.
Tes bras te reprennent en eux.
Cuillères de nos doigts, lèvres
admettent leur appartenance. "
 
Extrait d'un poème de Maxine Kumin, née en 1925, écrivaine et poétesse américaine.
Our ground time here will be brief (1982), "After Love" p182
 
A tous ceux qui aiment et sont aimés,
A tous les amours passés, présents et avenir....
Si l'un d'entre vous trouve ce poème, je suis preneuse en VO ou VF.

50269345.jpg
LN
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7 juillet 2010 3 07 /07 /juillet /2010 17:30

 

 

Les yeux soleil, la tête sourire et le coeur tambour, mon intérieur zébulonne. Un journée d'été parisienne comme une autre. Robe d'été, épaules dénudées je suis sortie , vivrevoltante, aérienne dans la torpeur de la chaleur terrestre. L'esprit chaloupant , dans un ailleurs de rêve éveillé. Il m'attendait. Je  me suis mirée dans ses yeux rieurs, d'un gris souligné par les fines lignes grises de sa chemise à carreau. Marchant côte à côte je ne pensais à rien, funambule sur le fil de mes sensations. C'est au Los Mexicanos que nous avons déjeuné. Décor aéré, musical, une table, un tête à tête sans queue ni tête. Regards de rires, nos clins d'oeil perdus dans nos cocktails de fruits frais. Deux bojitos....Une ballade , à la recherche d'un coin tranquille pour nous rassasier de nos connivences. Après cet excellent café, chacun a repris ses émois et   le cours de sa journée.


Sur les contours de ma route,  j'emprunte ce chemin  dans la clarté de nos sourires enlacés.

 

A tous les tandems .....

 

LN

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6 juillet 2010 2 06 /07 /juillet /2010 08:08

millenium.jpg

Avec impatience j'attendais le 2. Grande salle dans un complexe cinématographique au milieu de nulle part. Le MIRAMAR,  avec au centre du parking comme un mirador ....En fait c'est MEGAMAX OU MEGAMAR....ah non MEGARAMA.....

Fauteuil très confort, on s'y enfonce,  la tête a une bonne inclinaison....Parfait. Un froissement de papier, pop corn... Derrière nous, là pas loin dans notre dos.....Un "Bon appétit" ferme et froid les aura calmés .

 

Lisbeth aux Caraibes puis retour dans le Nord.  Lisbeth est toujours aussi bien campée. Mikael aussi ....ainsi que l'équipe du Journal. Les autres acteurs sont plus mous, moins habités par leurs  personnages qui sont pourtant très consistants dans leurs histoires.

J'ai senti moins de force que dans le précédent. Néanmoins j'attends avec impatience le 3ème dont je ne me souviens absolument pas de l'histoire......

 

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J'ai aussi vu AVATAR....Je suppose qu' il n'y a que moi pour ne pas l'avoir déjà vu. Très Belle histoire d'amour sur fond d'Amazonie .....  

Je l'ai vu au Miramar, Cinéma privé, deux places ....Cosi....un de mes  p'tits bonheurs du week-end .

 

imagesavatar.jpg

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3 juillet 2010 6 03 /07 /juillet /2010 13:15

 Au gré de ses corrections elle s'évapora dans le très léger cliquetis des bulles d'eau pétillantes. Solitude d'écrit-vaine. La nostalgie des débuts de ce roman s'immiscait entre la coquille page 54 :  "Torrii" ....Qu'avait-elle voulu écrire?


Flash back. Une recherche lexicale interrompue par un coup de fil. "Alors ce papier t'es en retard...".  Le collectionneur de cuillères, sujet de la rubrique In-solit-air du mois dernier ....Déclic et pourquoi pas  le départ de sa prochaine nouvelle.

Solitude créatrice. Charlie il s'appelait....Cuillère, mot dérivé de cochléa, escargot. Dérives, dormir en  cuillère, ...aller avec le dos de la cuillère...

 Elle reprit : Torii....Toride.

 


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